• MISE GLI LOOO - ECOUTEZ UN CONTE - FIDELE A SON RDV ANNUEL

    VOICI UN POINT SUR L'EDITION 2015 (en 2 dossiers)

    Rappel : Vacances d’été 2007, autour de Rogo Koffi Fiangor, quelques volontaires organisent au Togo ce festival de contes, de musique et des arts de la parole dont l’idée germait depuis longtemps déjà. Cinq jours dans plusieurs lieux, à raconter des contes et à les accompagner en musique et poésie.

    Et depuis, il y a eu d’autres éditions marquées à chaque fois par un événement typique, spécial. Nous avons eu plusieurs contributions – photos, vidéos, marionnettes, ouverture à l’international, participation des conteurs de la sous-région…

    Cette année, la nouveauté a été le baptême de la résidence d’activités  culturelles Gabité, maison de l’oralité, notre partenaire dans l’organisation des festivités depuis plusieurs éditions maintenant.

    Comme en 2014, le programme de cette 6ème édition 2015 s’est étendu dans trois lieux sur quatre jours du 4 au 8 septembre : Goethe-Institut de Lomé, la Cour royale du Chef Canton de Togblékopé et plusieurs interventions ont eu lieu à Agoé, dans les locaux de la Maison de l’oralité - Gabité.

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    Mobilisation - Moyens financiers et humains – Manifestations

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On avait prévu de faire simple, une année sur deux ! Afin de ne pas être trop submergés par trop de sollicitations inhérentes à un tel événement. Mais cette année 2015 qui se voulait soft nous a vraiment surpris par l’engouement des artistes et la qualité de leurs prestations.

    Côté financier deux apports ont suffi pour réaliser tout le festival. Celui personnel de l’initiateur RKF et le contrat avec le Goëthe Institut.

    Du coup, sur scène à l’ouverture du vendredi 4 septembre, il y avait un panel de 7 artistes : Souleman Laly venu du Bénin, François Moïse Bamba du Burkina Faso, Markus Soussoukpo, Allassane Sidibé, Rogo Fiangor. Pour couronner le tout, afin également de rectifier un impair de 2014, deux conteuses Fati Fousséni et Nafissa Songhaye.

    Une soirée riche en émotions diverses autour du thème inépuisable de la femme et de l’amour, distillée en filigrane tout au long des racontées jusqu’à la note finale qui répond à la question « Qu’est-ce que les femmes désirent le plus au monde ? »

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    Monsieur Edem Attiogbé, le directeur de l’Institut a réellement apprécié de lancer sa saison culturelle avec une manifestation aussi riche en couleurs à laquelle un public fidèle qui semble se faire désirer, surgit en grand nombre au dernier quart d’heure avant le début pour obliger l’organisation à rajouter des sièges !

    Le lendemain samedi 5 septembre le festival s’est déployée dans la Cour royale du Chef Canton de Togblékopé. Comme d’habitude, ce cadre on ne peut plus traditionnel donne à ce rendez-vous un caractère tout particulier avec son grand tamarinier, arbre à palabres aux immenses racines débordantes du sol et accueillantes. Cette fois-ci cela s’est confirmé par une implication très forte des notables malgré le deuil qui frappait l’un des leurs qui venait d’enterrer son épouse ce matin-là.

     

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    Chacun d’eux avait préparé plusieurs histoires pour répondre aux jeunes conteurs  – selon le contrat noué avec le Festival. Des chants nouveaux, des rythmes authentiques et des pas de danse capables de défier des chorégraphies très élaborées. Les réparties étaient vives et riches, volontaires et fécondes. Et pour une fois, le temps a été un mauvais arbitre, refusant de s’arrêter pour laisser à chacun l’occasion de raconter aussi longtemps qu’il l’aurait voulu. Plus d’un –surtout les organisateurs- sont partis de là frustrés de savoir que ces rendez-vous si rares ont pour vocation de nous jouer à la longue de mauvais tours : mémoires défaillantes, disparitions des anciens, perte des récits traditionnels ou savamment improvisés. L’éternel débat sur la nécessité d’un collectage en bonne et due forme.

     

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    Du dimanche 6 et mardi 8, toutes les activités se sont déportées sur Agoé où le Centre culturel Gabité – Maison de l’oralité avec pour commencer des gens de l’entourage immédiat, puis les gens du quartier, les acteurs, musiciens et autres intervenants, dans un décor artistiquement bien agencé… P1040549 P1020424P1020999P1050839P1030104P1060191P1060143P1020270P1030278P1020961P1020562P1020373

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Avant de conclure ce dossier 1

    Misé gli looo, est un petit festival qui à cette 6ème édition montre assez bien les capacités qu’elle peut déployer par rapport aux objectifs fixés au départ à savoir inventorier, créer, collecter, sauvegarder histoires, contes et récits de notre patrimoine national, le peu que chacun peut faire à son niveau pour nourrir les générations présentes et futures.

    Nous avons apprécié une fois encore les racontées et les chants en langues nationales qui font l’objet d’âpres discussions et commentaires sur le choix des mots et la maîtrise du vocabulaire. Raconter en langue vernaculaire pour des conteurs habitués à le faire en français, nécessite une mise à niveau ne serait-ce qu’au niveau du lexique et du langage. Un petit stage doit être pensé dans ce sens car la difficulté est parfois amusante mais un peu trop répétitive.

    Autre élément non négligeable, constat des différentes éditions : comment recueillir plus souvent et mieux les histoires qu’offrent les notables ? Comment les encourager à le faire au-delà du rendez-vous annuel de notre festival ? Et aussi comment donner un écho à leurs prestations avec des montages audio et vidéo divers ?

    Tout ceci demande une organisation. Nous en sommes capables. Un budget. Et là, on bloque ! A qui s’adresser ? Qui peut sentir le besoin et le bien-fondé de cette opération de sauvetage de notre patrimoine et y accorder un appui, une allocation voire une substantielle subvention pour faire du bon travail professionnel ? Le défi est là avec des enjeux qui chaque jour nous font des pieds de nez avec l’affaiblissement de la mémoire des anciens ou leur disparition physique.

    Le dernier élément sur cette série de souhaits consiste à encourager et à mieux renforcer et conforter les femmes qui exercent ce métier. Non seulement les publics adorent les entendre raconter mais en plus elles peuvent porter la parole contée dans des lieux et sur des sujets où les hommes se sentiraient mal à l’aise ou tout simplement peu légitimes. Les femmes donnent c’est un fait, une valeur ajoutée au conte.

     

     

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      La suite de cette publication se trouve au dossier 2.

     Ouvrez-le : http://vacancesutilestogo.kazeo.com/edit/mise-gli-loo-festival-de-contes-et-musique-debut-septembre-2015-dossier-2/mise-gli-loo-festival-de-contes-et-musique-debut-septembre-2015-dossier-2,r2260424.html

     

     

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    Point sur la 5ème édition – 2014
    FESTIVAL DE CONTES ET DE MUSIQUES « MISE GLI LOO » 

     Il est bon de rappeler que depuis les vacances d’été (juillet-août) 2007, un petit groupe de volontaires organise au Togo ce festival de contes, de musique et des arts de la parole. Pendant trois à cinq jours des acteurs de terrain se retrouvent pour raconter dans divers lieux, sans grands moyens mais avec comme salaire la satisfaction de redonner vie aux histoires, aux contes et récits. Laisser entendre des poèmes et de la musique et enfin de suivre des ateliers qui permettent d’édition en édition de s’améliorer et de combiner les arts comme la danse, le slam, la photographie, la vidéo pour ne citer que ces cas-là.

    Pour cette édition 2014, le programme s’est étendu sur quatre jours du 05 au 08 septembre. Sur cinq lieux : Goethe-Institut de Lomé, Stars Bus bar – Centre d’animation à Gbossimé Lomé, Dans la Cour Royal du Chef Canton de Togblékopé, à la Bibliothèque Diocésaine Saint Augustinà Brother-Home Lomé et à Hakuna – Matata à Adidogomé.

    Ce point sur Misé gli loo 2014 suivra un schéma simple :

    1-    Ce qui s’est passé avant cette pour mobiliser les moyens financiers et humains

    2-    Ce qui s’est passé pendant les 4 jours

    3-    Ce qui se passe après et nos projections dans l’édition 2015

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    1- Mobilisation des moyens financiers et humains

       Deux personnes sont les forces de frappe de l’organisation de toute cette édition.

    La battante qui s’est portée volontaire pour rassembler des sous pour le festival s’appelle Claire Granjon.  

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      Sa motivation première est née du fait qu’elle a participé aux éditions de 2011 et 2012 en tant que conteuse et formatrice et elle avait vu comment toute l’organisation reposait sur des moyens financiers trop réduits et qu’à cause de cette raison les organisateurs togolais tiraient trop le diable par la queue. Puisqu’ils ont fonctionné avec beaucoup de générosité depuis la création du festival, Claire G s’est proposée de faire en sorte qu'on ne demande plus aux artistes de participer au festival sur du quasi bénévolat. 

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     C’est d’ailleurs l’une des raisons qui ont fait que l’édition 2013 n'a pas eu lieu. Car nous pouvions encore avec nos propres deniers organiser un petit festival basé sur le bénévolat comme les années passées, mais ce n'était pas dans les objectifs d’amélioration qu’on s’était fixés.

    N'étant pas soutenus par l'Etat ou qui que ce soit, il a donc fallu chercher les sous ailleurs. 
    Claire au départ pensait aux sites d’aide sur Internet : kisskissbank ou babeldor.

    Nous avons estimé qu'avec un peu plus de 1000 euros nous pouvions faire le festival en payant un petit peu les artistes, Mais la réflexion sur les contreparties n’a pas abouti. Car ce montant restait trop faible pour les intégrer. On aurait pu demander plus, mais risquer de ne pas atteindre la somme à cause des contreparties était un peu dommage.

    De l’autre côté, babeldor a retoqué notre demande estimée trop élevée pour aboutir.

    Puis certains éléments ont joué en notre faveur grâce aux relations d’Allassane Sidibé et à ses bons rapports avec d’autres conteurs des pays limitrophes.

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    François Moïse Bamba du Burkina Faso a proposé de raconter au prochain Misé gli loo en offrant son cachet. Patrice Toton, conteur béninois, contacté, s'est lui aussi proposé de faire la même chose. Il fallait juste prendre en charge leurs frais de transport, de restauration et d'hébergement… 

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      Pour pouvoir alors boucler un budget ainsi allégé, Claire Granjon a donc décidé de faire exclusivement appel à sa famille et à ses amis, qu'ils soient conteurs ou pas, par mail, téléphone, en direct... pour rassembler le nécessaire. Beaucoup ont participé. De 10 à 100 euros. Et c'est ainsi qu’elle a pu rassembler 500 euros, qu’elle a complété par 200 euros de son association Terres de Récits. 

     

    Nous devons donc un grand Merci à sa famille, frères et parents, à Anne Kovalevsky, Françoise Diep, Abel Jiminiga, Virginie Doudou, Mr et Mme Jullien, Johanna Lafosse, Martine Clermont, l'association Terre à Terre, Sylvie Makakalala, Manu Mercier et Maguy Cointepas.
    Le complément des dépenses ont été pris en charge par un contrat du Goethe Institut concernant la grande et belle soirée d’ouverture avec les artistes et musiciens du Togo, du Bénin et du Burkina Faso.

      

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    Puis les frais accessoires de la clôture par Rogo Koffi Fiangor, initiateur de ce RDV depuis 2007.

    Nous avons trouvé un équilibre de fonctionnement avec un budget total de 1000 euros soit 665 000 frs CFA. Nous avons affronté 747 000 frs CFA de dépenses soit 1140 € et le petit solde défavorable qu’on enregistre ne met pas en péril notre détermination à continuer.

     

    Pour y parvenir il a fallu encore beaucoup d’extraordinaires bonnes volontés. Alors MERCI, encore et encore à tous mes amis, collaborateurs et partenaires, à tous les conteurs qui se mobilisent pour ce Festival Misé Gli loo qui ne cesse de bien grandir. Au directeur artistiquede Gabité – Maison de l’oralité au Togo, Allassane Sidibé qui a fait un excellent casting large et consensuel.  

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      Le budget s’est retrouvé ainsi bouclé avec la philosophie suivante : « Si on n’a pas les moyens de sa politique, il faut faire la politique selon ses moyens » Remplacer politique par instruction et distraction et vous comprendrez mieux nos propos. Allassane a alors programmé l’opération avec l’aide de son équipe.

     

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    2- Le festival proprement dit s’est déroulé sur quatre jours

    Cette période du début du mois de septembre se révèle très propice pour notre Festival Misé gli loo. Moments de flottement entre une rentrée qui tarde et des vacances qui s’éternisent comme dit sur Togocultures. Pour une fois, on est plus seulement entre Togolais car il y a des conteurs et musiciens invités du Bénin et Burkina Faso pour que le rendez-vous soit encore plus varié, éducatif, exotique, bigarré et panaché.

    Vendredi 5 septembre dès 18h30 :

    La soirée d’ouverture a rassemblé sur scène quatre conteurs et un musicien à savoir Patrice Toton et Edouard Ahonsou du Bénin, François Moïse Bamba du Burkina Faso, Roger Atikpo et Béno Alluwasio Sanvee du Togo.

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    Introduite par le directeur de l’Institut, Monsieur Edem Attiogbé et le Directeur artistique du Festival Allassane Sidibé, elle fut animée par Rogo Koffi Fiangor devant un parterre d’invités et d’amoureux du conte et de l’oralité. Ce fut dans un théâtre de verdure où le public venu nombreux est reparti enchanté.

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    Samedi 6 septembre matinée :

    Deux ateliers de quatre heures :

    Atelier 1 :

    "Le déploiement de l'imaginaire dans la création des contes et des récits".

    Animé par Rogo Koffi Fiangor à la Bibliothèque Diocésaine Saint Augustin-Lomé

    Atelier 2 :

    « Détection des besoins de formation des conteurs du réseau afrifogo » - plateforme qui vise à renforcer les capacités individuelles, organisationnelles et institutionnelles du secteur du conte en Afrique de l’Ouest francophone au profit du développement humain durable.
    Animé par François Moise Bamba à Hakuna – Matata Adidogomé

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    Samedi 6 septembre après-midi :

    Stars bus - scène ouverte dès 16H00 avec les artistes suivants : le ballet magnifique, Fati Fousseni, Alex Mondé, Joseph Bessan, Seyram Agbalekpor, Nafissa Songhaye et Conrad Dagbovie…

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    Lundi le 8 septembre dès 16h

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    Dans la Cours Royal du Chef Canton de Togblékopé : au programme la Cie Awawlui, Charelle Hounvo, Fati Fousseni, Alex Mondé, Roger Atikpo, Seyram Agbelekpor, deux notables de la cour du chef…

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    Lundi 08 septembre dès 19 h :

    Clôture festive à Hakuna –Matata à Adidogomé avec tous les acteurs, comédiens et intervenants.

     

    3-  Et après : nos projections dans l’édition 2015

    Au total, cinq lieux avec cinq stratégies, cinq différentes façons d’intervenir, de raconter ou de travailler sur les contes et récits.

    Une fois encore, les objectifs visés ont été tous atteints : être des relais entre l’ancienne et les nouvelles générations et tisser des ponts de connaissances entre le passé et le présent, les adultes et la jeune génération ? C’est pour cela que nous avons conté en français, en éwé et en mina. Les enfants et les adultes partout se sont régalés et à chaque fois chacun voulait voir renouvelés ces rendez-vous très enrichissants pour tous.

    Misé gli loo a globalement durant cette édition 2014 présenté un majestueux et impressionnant travail de maturité, rempli de belles énergies, motivations et initiatives. Mais on peut toujours mieux faire, n’est-ce pas ?Nous avons trouvé un équilibre de fonctionnement avec un budget total de 1000 euros soit 665 000 frs CFA. Nous avons affronté 747 000 frs CFA de dépenses soit 1140 € et le petit solde défavorable qu’on enregistre ne met pas en péril notre détermination à continuer.

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    Pour y parvenir il a fallu encore beaucoup d’extraordinaires bonnes volontés. Alors MERCI, encore et encore à tous mes amis, collaborateurs et partenaires, à tous les conteurs qui se mobilisent pour ce Festival Misé Gli loo qui ne cesse de bien grandir. Au directeur artistiquede Gabité – Maison de l’oralité au Togo,Allassane Sidibé qui a fait un excellent casting large et consensuel. 

    Remerciements et reconnaissance à Claire Granjon, à sa famille et à ses amis, à Terre de récits en France, à Goethe Institut de Lomé et son directeur Edem Attiogbé, à Alain-Valère Boguio Adokpo - Star bus de Gbossimé, la Cour du roi et les notables de Togblékopé, à Sr Cécile de la Bibliothèque catholique diocésaine et à Michel Hoffer du Centre culturel Hakuna Matata.

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    Pour nous le rendez-vous est pris pour 2015. Avec pour envie de faire plus et mieux ! Deux points d’orgue en prévision au Centre Culturel Mytro Nunya

    à Lomé et au Cast- orphelinat à Yokélé Kpalimé qui fêtera ses vingt ans d’existence.

    Tout le monde attend avec impatience les contes, les récits, la poésie, la musique, les ballets avec des danses extraordinaires. Car il y a nécessité de défendre l’art et la culture comme le proclame une des compagnies Awawlui (2C.2A) avec le tambour parlant, les pagnes et habillements traditionnels, les proverbes, de l’originalité, de l’ancrage…

    Pour fonctionner, il nous faudra environ un minimum de 1.400 000 frs CFA soit 2140 euros. L’appel est lancé à toutes les bonnes volontés. A bon entendant…

    « Aucun couteau ne peut se couper lui-même » et« aucune main ne peut bien se laver toute seule »  

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    Binôme

    Bénédiction des dieuxMichel HofferClaire GranjonRogo lors d'une racontée au Togo Eté 2010

    Photographe OliviaPublic avec du matos pour souvenirs

    Une fenêtre ouverte sur le contePhotographe Folly Koumougan

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    "C'est au bout des anciennes cordes qu'il faut tisser les nouvelles"

     

    Deux liens pour faire le pont : 

    http://togocultures.com/lome-et-togblekope-terre-de-contes/

    http://rogokoffifiangor.over-blog.com/2014/10/la-reprise-rentree-2014-2015-faite-cette-annee-au-togo.html

    Rogo Koffi Fiangor - rokofi@sfr.fr

    Crédits photo : Folly - Francis - Rogo - Olivia - MERCI BEAUCOUP pour ces regards passionnés ! 

     

     

     

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  • VOYAGE UTILE AU TOGO - PROPOSITION POUR L’ETE 2014

    Coût : billet d’avion à définir (Air France entre 900 et 1200 euros)

    Séjour : Prévoir minimum 2 semaines - maximum 4 semaines[1]

    Le séjour est calculé sur une base de 30 euros TTC par jour.[2]

     

    Le montant de 30 euros par jour comprendra (selon le principe d’une gestion collégiale) L’hébergement, la pension complète et les déplacements dans le cadre des sorties distractives et des prestations culturelles.

    Sauf vos dépenses personnelles : sorties individuelles, achats ou offres cadeaux, dépenses hors projets, avec ces montants préétablis, aucune surprise au niveau du projet ou du groupe. Avant le départ, on s’entendra sur une feuille de route minimum (éventuelles animations et différentes visites touristiques). 

    Toute autre dépense collective non prévue sera soumise, dans le cas échéant, sur place à discussion et vote !

    PARTIR COMME ON VEUT ET REVENIR AUTREMENT !

    Avec Rogo vous pourriez vous reposer, vous ressourcer, vous requinquer… vous instruire, vous distraire…Un voyage au Togo qui permettra à chacun de vous individuellement d’abord et collectivement ensuite de changer d’univers et de vision de la vie en partageant avec des togolais une de vos passions ou d’autres choses qui se révèleront d’elles-mêmes…

     

    Vous serez un voyageur privilégié pour la découverte d’une partie du pays, de sa culture et de ses traditions, des coutumes et aussi des réalités professionnelles et familiales …

    Chacun à son rythme, cool, cool ! C’est des vacances tout de même !

    Photo et autres vidéo permettront de témoigner des ambiances...

    Au Togo la nature est belle et variée. En août le temps est doux, chaud et parfois pluvieux. Les fruits sont nombreux et juteux…

    Donc pour vous un VOYAGE utile et profitable avec 3 objectifs :

    Ø  Voir et vivre autre chose, loin des stéréotypes et des idées reçues…

    Ø  S’offrir une expérience authentique et très exceptionnelle …

    Ø  Définir pour soi-même clairement ou en secret un projet de séjour…              

     

    L’occasion est trop belle pour ne pas essayer…

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    Le Togo et ses réalités, l’adaptation, la réflexion, l’observation, l’adaptation, la méditation vous aideront à l’auto-médiation !

    Voyage utile – vacances paisibles au Togo en Afrique de l’Ouest !

    Notre assurance : de bellesperspectives d'échanges et de partage et la probabilité de revenir changé, chamboulé, transformé, rénové, chouchouté, bousculé, qui sait ? Ce qui est sûr : au retour chacun sera stimulé autrement, différemment…

    Il nous reste maintenant – si ces propositions vous conviennent à décider, après discussions des dates : 2,3 ou 4 semaines selon votre convenance.

    Plus tôt la décision sera prise, mieux ce sera pour économiser sur le coût des billets. Surtout si l’aller ou le retour se faisait collectivement sur une date unique pour bénéficier d’un billet tarif de groupe.

    Important : Chaque participant sera invité à contribuer à concurrence seulement de 75 euros au voyage de Rogo-accompagnateur, facilitateur, médiateur, pont... et au projet Misé Gli loo (Contes-Musique-Poésie..)et ce quel que soit le nombre de voyageur 2/3/5…

     

    Rogo Koffi Fiangor – 0663713049 –rogokorobozi@yahoo.fr

    PS : Projet en cours depuis 2007. Vous voulez des témoignages de certains anciens voyageurs qui ont fait la belle expérience ? Contactez-moi...

     


    [1]- Dans le meilleur des cas, on peut espérer de billets légèrement en dessous de 900 euros voir autour de  850 … Le plus tôt sera toujours le mieux pour amoindrir le coût des billets collectivement et même individuellement !

    [2]- en cas d’un billet de 900 euros, pour un séjour de deux semaines à 420 euros, sur un coût total de 1320 euros

    - en cas d’un billet de 900 euros, pour un séjour de trois semaines à 630 euros, sur un coût total de 1530 euros

    - en cas d’un billet de 900 euros, pour un séjour de quatre semaines à 900 euros, sur un coût total de 1800 euros

    - en cas d’un billet de 1200 euros, pour un séjour de deux semaines à 420 euros, sur un coût total de 1620 euros

    - en cas d’un billet de 1200 euros, pour un séjour de trois semaines à 630 euros, sur un coût total de 1830 euros

     

     

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  • Alassane et Claire

    Démarrage du festival le 6 août avec le stage "l'art de conter". Ce fut au Centre Socio-culturel Hakuna Matata – Adidogomé. Son directeur, Michel Hoffer accorde, depuis le début, un appui franc, direct et une fois encore indéfectible à la manifestation. Autour des deux encadreurs-animateurs Alassane Sidibé et Claire Granjon, 18 participants, touchants par leur enthousiasme et leur extrême motivation. Quatre heures par jour pendant  4 jours, du lundi au jeudi, ils ont pu préparer une prestation d'une heure pour la clôture du festival. Parmi eux, certains n'avaient jamais conté auparavant !

    groupe conteurs

    La soirée inaugurale proprement dite du Festival a lieu le lendemain 7 août, en présence de nombreux invités dont Rogo Koffi Fiangor, directeur du festival.

     Rogol'après-midi, le collectif s’était mobilisé pour l’installation de l'exposition de marionnettes de Danaye Kanlanfeï, grand marionnettiste togolais, qui a créé un petit musée à domicile dédié à son art, visitable sur rendez-vous.

    Le public est là, nombreux, fidèle dans la petite cour aménagée par Danaye et Koko Confiteor Dossou. Danaye démarre cette soirée par une présentation des marionnettes et d’une version écourtée d'un de ses spectacles. Suivent les conteurs Joseph Kossi Bessan, Alex Monde et Roger Attikpo avec sa Kora et le slameur Ap'Nondas. Le musicien Behanzin, parfois accompagné de Joseph Bessan, joue des intermèdes qui font chanter le public et danser les marionnettes de Danaye.

    marionnettes
    Une soirée joyeuse, rieuse et chaleureuse qui donne le ton à la demi-douzaine de prestations collectives prévues sur toute la durée du Festival. 
    Le 8 août, Fati Fousseni et Seyram Agbalekpordudzi vont raconter à la
    bibliothèque STEJ à Agoé. Un nombreux public d’enfants habitués des contes et du lieu les y accueille.
    Pendant ce temps, Alassane Sidibé, Joseph Kossi Besan et Claire Granjon vont à la Brigade pour mineurs raconter à une quinzaine de jeunes incarcérés. L'accueil de la brigade est bienveillant, les jeunes détenus attentifs aux contes. Mais les conditions de racontée sont particulières et même éprouvantes car le lieu n’est pas doté d’une salle de spectacle spécifique. Donc, dans les conditions de privation de liberté, la racontée est fastidieuse et l’écoute partiale !


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    chef tradi

     

     

    kpatsima

     

     

     

     

     

    Le même jour était prévue à 18h, une troisième racontée dans le jeune centre Odayé à Hedzranawoé. Un problème d'organisation empêchera de s’installer dans un confort relatif. Malgré tout une conterie sera improvisée pour les enfants présents qui sont friands de tous les rares événements qui leur sont gratuitement proposés. Dommage que ce rendez-vous n’ait pas connu le public qu’il fallait pour les conteurs Frederick Johnson, Fati Fousseni, Alex Monde, Rogo Fiangor et Alassane Sidibé.

    Le 9 août, suite du festival à la cour du roi Djrah à Togblé-Kopé. Sous l'arbre à palabres sont installés chaises et bancs, bientôt occupés par tous les enfants du quartier réunis dans une structure dénommée
    Cercle d’Aide aux Enfants de la Rue - CAER,dirigé par Arnold Komlavi Koledji. Arrivent les dignitaires et les adultes qui prennent place dans le cercle. Roger Atikpo, Joseph Kossi Bessan, Alassane Sidibé et le musicien comédien Eustache Kamouna avec sa guitare assurent sur deux bonnes heures un bel après-midi conté. Roger apprend aux enfants une chanson assez complexe qu'ils réussissent à chanter avec lui tandis que l’atelier théâtre du CAER présente au public un conte traditionnel togolais préparé avec les enfants. Le chef traditionnel représentant le roi est tellement content de cette manifestation et de toutes les prestations qu’il promet de tout mettre en œuvre pour des échanges à l’édition de 2013. Les habitants du quartier et ceux qui travaillent avec les chefferies et les vieillards viendraient échanger des histoires avec les conteurs lors une veillée encore plus festive.

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    Arnold CAERune équipe de choc

     

     

     

     

     

    L’après-midi s’est fini en beauté à Togblé Kopé, banlieue de Lomé. Public, conteurs et musicien, sont repartis riches des bons moments passés ensemble et nourris par les rencontres et les promesses pour l’avenir.

    Puis les festivaliers sont retournés à Hakuna Matata où avait lieu à 18h 30 la clôture du festival. Les stagiaires assurent alors une première partie variée et vivante, fruit de leurs efforts en ateliers et hors ateliers sur ces quatre jours avec une prestation où ils étaient tous les 18 sur scène. Ensemble, ils étaient très impressionnants avec une maîtrise des jeux d’improvisation et de transition pour rendre fluide cette racontée à plusieurs voix.

    groupe atelier conteurs

    Ils ont vraiment assuré avec joie. Leur plaisir d’être là était contagieux. Laurence, une vacancière française conçoit, dans la foulée, sur un temps de travail très réduit, une prestation avec Narcisse, un des stagiaires. Le public apprécie ! Vicky Tsikplouno et ses marionnettistes entrent alors en scène pour rendre hommage à leur regrettée collègue Claudine Agbalo qui était de l’aventure en 2011.

    Suivent alors les conteurs professionnels avec en tête le doyen Kokou Beno Sanvee qui régale les spectateurs en racontant comment l'araignée,Yévi-Golotoé maître incontesté dans l’art des mauvais tours,le plus rusé des créanciers au monde s’arrangent toujours pour payer ses dettes sans jamais rien perdre au change ni rien dépenser. Puis suivent David Ganda, Roger Attikpo, accompagnés par le musicien Eustache Kamouna  à qui Danaye Kanlanfeï fait honneur en faisant danser les marionnettes.

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    conteur1gbéhanzin

     

     

     

     

    Comme à l’accoutumée, la soirée est animée, rires et cris de joie fusent souvent. On fait le tour des émotions et tout retombe à un moment car toutes les bonnes choses de la vie ont toujours une fin !

    Une collation offerte par le festival, autour de laquelle les différents participants aux événements se sont retrouvés pour discuter a clôturé cette dernière journée du Festival à Lomé. Les marionnettes rangées à l’issue des quatre jours d’exposition peuvent enfin aller se reposer en attendant une prochaine sortie. Ce qui n’était pas encore le cas du Collectif des festivaliers.
    Vendredi 10 août, l’équipe se rend à Assahoun, à 52 kilomètres de la capitale pour une soirée bonus. Etaient du rendez-vous : Rogo Koffi Fiangor, Roger Attikpo, Joseph Kossi Bessan, Rachidatou Tahirou, Alassane Sidibé, David Ganda, Behanzin et Claire Granjon. La manifestation accueillie par le centre culturel Adokpo, un lieu magnifique, propice à toutes sortes d'événements culturels, tenu par le bouillant Alain-Valère Kouassi-Ahoudjo.Les enfants sont présents - comme partout durant tout le festival.

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    Mais, fort malheureusement, les adolescents et les adultes manquent à l’appel. Ces derniers sont retenus au stade du village où se tient un match de foot. Quelques adultes nous rejoindront plus tard mais un peu trop tard, puisque le temps des prestations n’est pas élastique à l’infini. Les conteurs racontent, les musiciens font chanter le public. Chacun donne le meilleur de lui-même et c'est encore une jolie soirée. Elle met fin à cette 4ème édition du Festival de contes et de musiques « MI Sé GLI LOO » tenue du 6 au 10 août 2012.

    Ce fut outre les retrouvailles humaines, une édition de plus, les ateliers - 18 stagiaires sur 4 journées, une exposition d’une centaine de marionnettes de Danaye Kanlanfeï, des racontées, des chants et de la musique avec un public friand de ce rendez-vous. Six lieux différents (Centre socio-culturel Hakuna Matata à Lomé Adidogomé, Bibliothèque Stej à Agoé, La Brigade pour mineurs et le Centre Odayé à Lomé, La cour du roi Adjrah à Togblé Kopé et le Centre culturel Adokpo à Assahoun). Et aussi une grande rencontre de conteurs, de musiciens et d’artistes de la parole… animés par pour les mêmes causes ou par des passions croisées.

    Et, pour rester fidèle à toute la programmation, un rendez-vous supplémentaire a eu lieu le jeudi 23 août à la Bibliothèque diocésaine Saint Augustin de Lomé 

    Renc litt 3des contes et des lectures de textes autour du thème de l’esclavage en collaboration avec le collectif Escale des écritures. Une trentaine de personnes ont fait le déplacement et six lecteurs ont mis en bouche le texte Ayicha, la Reine blanche de Jean Kantchébé, conte théâtralisé adaptée de Tamango, nouvelle de Prosper Mérimée et « Kagni, l’esclave rebelle » Renc litt 6de Joël Ajavon. Renc litt 4

     

     

     

    La grande aventure littéraire des vacances 2012 entre Missé gli looRenc litt 5, Gabité et l’Escale des Ecritures s'achevait ainsi avec ses projections et ses réussites, ses joies et ses peines ! Au final, une envie : faire. Faire encore, faire plus et faire mieux. Donc rendez-vous à l'année prochaine...!!! ???

    Renc litt 1

    Renc litt 2Merci aux différents lieux : Hakuna Matata, Bibliothèque Stej, Brigade pour mineurs, Centre Odayé, Roi de Togblé Kopé, Centre Adokpo, Gabité, maison de l’oralité, Bibliothèque diocésaine Saint Augustin de Lomé.

    Merci singulier à Danaye Kanlanfeï et ses marionnettes,

    Merci fabuleux aux conteurs Roger Atikpo, Edem Modjro, Joseph Koffi Bessan, Alex Monde, Kokou Beno Sanvee, Fati Fousseni, Alex Monde, Frederick Johnson, Seyram Agbalekpordudzi, Adehounou Félicien, Ap’nondas, Seyram Agbalekpor Dodzi, Vicky Tsikplonou David Ganda,

    Merci joyeux aux musiciens Behanzin et Eustache Kamuna,

    Merci enthousiaste à Adjaklo Emmanuel, Adoté Paul A., Kantchebé Jean,Ajavon Joël, Ali-Tagba Totèrèho, Amekotou Polycarpe, Bekedou Panafeikou, Bessan Koffi, Ibrahim Mohammadou Abidon, Katakou Yaovi Séna, Mensah Julien, Tahirou Rachidatou, Tchabodi Tchagbèlè, Touglo Jean et plein d’autres amis présents…

    Merci aux soutiens Marcel Djondo, Michel Hoffer, Claire Granjon, Laurence Foucher, Coline Renard, Brigitte Ireton, Gaëtan Noussouglo, Olivia de la Panneterie, Sr Cécile Mawussi Fiangor, Emmanuel Gbadamassi, Fabrice Alawoe…

    Et encore un dernier grand merci particulier à Béno Sanvee et Roger Atikpo pour leur  participation bénévole,

    Merci reconnaissant à Claire Granjon et Rogo Fiangor, bénévoles et financeurs,

    Merci spécial enfin à Alassane et Claire qui ont porté à bout de bras, entre autres personnes, cette 4ème édition 2012.

     

    http://refletcaertogo.asso-web.com/

    http://www.adokpo.com/

    http://www.youtube.com/watch?v=GdEA5fpHO58  Eustache en prestation sur youtube


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